lundi 23 février 2015

"Harry Potter" de J.K. Rowling



Par la Sudiste,

Qui n’a jamais entendu parler d’Harry Potter? Personne, voilà ! On peut aimer, on peut détester, mais on ne peut pas ignorer.

Avant d’être une série de films (certains bons, d’autres moins), Harry Potter, c’est une saga de littérature « jeunesse ». Je mets jeunesse entre guillemets car bien qu’enfantin au début, l’histoire se fait de plus en plus sombre et sérieuse, au fur et à mesure que les protagonistes, et les lecteurs, grandissent.

Bon, je sais que tout le monde connait, mais voici un petit rappel de la base :

Harry Potter, jeune orphelin britannique, vit chez son oncle, sa tante et leur abominable fils Dudley. Les Dursley ont « hérité » d’Harry, alors nourrisson, à la mort brutale de ses parents, onze ans plus tôt. Jamais accepté dans cette famille, Harry vit dans un placard sous l’escalier, porte les vieux vêtements de son cousin et fait également office de Cendrillon des temps modernes. Et rien ne rend son oncle plus furieux que lorsqu’il provoque, bien malgré lui, des incidents pour le moins étranges.
Mais le jour de son 11e anniversaire, toute la vie de Harry bascule. Un bien étrange courrier lui est adressé. Il est admis à Poudlard, l’école de sorcellerie du Royaume-Uni. Car oui, Harry est un sorcier ! Et voilà qu’il plonge dans un monde magique, peuplé de créatures surnaturelles, de confiseries aux pouvoirs hilarants, de baguettes magiques, de balais volants…

Alors qu’il s’adapte à une toute nouvelle existence en compagnie de ses nouveaux meilleurs amis, Ron et Hermione, Harry est bien vite confronté à la sombre réalité de son passé et contraint d’affronté celui qui a assassiné ses parents, celui dont on n’ose prononcer le nom et dont la simple évocation fait trembler les sorciers du monde entier…Lord Voldemort.

Cette saga se compose de sept romans, correspondant chacun à une année à Poudlard :
- Harry Potter à l’école des sorciers
- Harry Potter et la chambre des secrets
- Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban
- Harry Potter et la coupe de feu
- Harry Potter et l’ordre du Phoenix
- Harry Potter et le prince de sang mêlé
- Harry Potter et les reliques de la mort

J’ai adoré Harry Potter, dès la première lecture. Je me souviens qu’à l’époque, j’en avais tellement entendu parler que je n’avais pas eu envie de le lire (oui, je suis comme ça). Mais un jour, en vacances chez une tante, je commençais à m’ennuyer ferme. J’ai fait un petit tour par la bibliothèque de ma cousine et…je suis tombée sur les 2 premiers tomes de la saga de J.K. Rowling. Après ça, je suis devenue une grande fan, tellement fan que j’ai dévoré les derniers tomes en anglais, après avoir couru à la Fnac le jour même de leur sortie.

Harry Potter, ça vous plonge dans un univers tellement merveilleux que revenir à la réalité vous fait presque mal. Harry Potter, c’est exaltant, c’est drôle, c’est haletant, et surtout, ça entretient notre imaginaire de la plus belle des façons. Le nez dans ce livre, je suis une enfant, une enfant qui ne rêve pas simplement de magie, mais une enfant qui y croit dur comme fer.

Pourquoi les lire, eux, plus que d’autres ?
  • Parce que c’est…magique ! Il n’y a pas d’autres mots
  • Parce qu’on adore Hermione et ses cheveux fous et la longue barbe et les yeux rieurs de Dumbledore
  • Pour son univers merveilleux qui nous fait rêver de la première à la dernière phrase
  • Pour sa façon de faire (re)naître une part d’enfance en chacun de nous
  • Pour tous les noms loufoques et qui nous transportent dans un monde hors du commun
  • Pour lire !

"After" d’Anna Todd



Par la Sudiste,

J’avoue qu’après mon expérience extrêmement décevante avec les fan-fictions, tendance érotique, devenues romans (oui, je pense à « 50 nuances… » dont  je vous ai parlé ici), j’étais carrément rebutée par ce que les éditeurs appellent aujourd’hui le « new romance ».

Mais, alors qu’un jour je regardais BFM Tv, je tombe sur un petit reportage sur la nouvelle sensation du moment : Anna Todd, jeune américaine, auteure d’une fan-fiction à succès, éditée sous le titre « After ». On compare son roman à « 50 nuances » pour le côté érotico-littéraire, mais, allez savoir pourquoi, cette fille-là, blondinette et souriante, me plaît bien.

Je laisse passer quelques jours, puis je file sur Amazon lire le résumé de ce livre-là… Bon, soyons honnête, la couverture, un peu trop racoleuse à mon goût ne m’attire pas franchement. L’histoire a l’air relativement bateau, mais certains commentaires me parlent. « Bon, allez, je plonge, je n’ai pas grand-chose à perdre. »

Et grand bien m’en a pris !

J’ai plongé tête la première dans l’histoire de Theresa – Tessa –, jeune fille de 19 ans qui débarque à l’université, affublée d’une mère hyper-directive, d’un petit ami lisse et sage et de belles certitudes sur son avenir. Tessa, hyper coincée, sage et innocente, se trouve bien obligée de partager une chambre avec Steph, cheveux rouges, tatouages et piercings tous azimuts. Et c’est ainsi un tout nouveau monde qui s’ouvre à elle, dans lequel elle n’entre pas sans réticence. Surtout lorsqu’elle croise la route d’Hardin, certainement le mec le plus grossier et le plus détestable qu’elle n’ait jamais croisé. Il jure comme il respire, il est particulièrement provocateur avec une tendance à l’agressivité et tout le monde semble le craindre. Rien ne pourrait laisser imaginer une quelconque attirance entre eux, et pourtant, chacun semble bien être le meilleur mais aussi le pire que l’autre pouvait espérer… Lequel se brûlera le premier ?

J’ai dévoré les deux premiers tomes en tout juste deux ou trois jours. Oui, j’ose l’admettre, ça faisait bien longtemps que je ne m’étais pas laisser happer aussi intensément par un livre, au point de presque faire une nuit blanche pour ne pas le lâcher. Non, d’accord, ce n’est pas de la super grande littérature. Mais finalement, on s’en fiche. Anna Todd réussit à nous emmener au bout de 600 pages en une respiration. Son style est fluide, pas cucul, très dynamique, et j’apprécie beaucoup.

Pourquoi le lire, lui, plutôt qu’un autre
  • Pour la sexitude qui émane d’Hardin, et nous permet d’assouvir le fantasme du bad boy
  • Pour les engueulades ! J’admets, j’adore les bonnes disputes de couple, les réparties cinglantes, et là, ça fuse dans tous les sens
  • Pour les scènes coquines aussi, je ne vous cache rien, parce qu’elles sont, pour moi, bien plus réalistes et bien mieux écrites que dans « 50 nuances »
  • Pour voir Tessa évoluer, s’affirmer, se lâcher
  • Pour se rendre compte au bout d’une scène qu’on a le visage crispé, les yeux écarquillés et le cœur qui palpite
  • Pour lire !